Il faut y aller par accoups

Mercredi 4 Janvier, la première nuit à la communauté s'est bien passée. Le climat de Parakou est vraiment agréable. Dés le matin,  première  visite de la ville de Parakou pour aller dans un centre d'accueil d'enfants issus du trafic. (enfants vendus et exploités)

En ville tout se ressemble, c'est dur de se reperer. Il n'y a pas de panneaux d'indications. Ce que l'on voit le plus, c'est des vendeurs ambulants, des cabanes vertes et jaunes qui vendent des recharges téléphoniques pour Moov et MTN (les leaders de la communication au pays). On voit aussi beaucoup de petites étales qui proposent de l'essence de contrebande contenue dans des bouteilles de vin et des gros flacons en verre.

La route est tres étroite et souvent abimée, c'est assez dangereux, surtout que la circulation est spectaculaire. Je n'avais jamais vu autant de moto.Le piéton est loin d'etre prioritaire, il faut etre prudent.

En tous cas, Parakou apparait comme une ville très vivante, je ne risque pas de m'ennuyer...


(Je ferais de mon mieux pour fournir le blog en photo, mais ici on ne se promène pas avec l'appareil photo apparent, et vue la discrétion de mon reflex, ça risque d’être difficile.)